ENTHÜLLUNG: GÄNSE BEI DAUNENLIEFERANT VON CANADA GOOSE ERDRÜCKT UND ERSTICKT

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9.November 2017

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Sascha Camilli +44 (0) 20 7923 6244; [email protected]

ENTHÜLLUNG: GÄNSE BEI DAUNENLIEFERANT VON CANADA GOOSE ERDRÜCKT UND ERSTICKT
PETA US stellt Strafantrag wegen Verbrauchertäuschung durch Tierschutzbeteuerungen

Bern – Eine aktuelle Videoenthüllung von PETA zeigt Tierquälerei bei einem Daunenzulieferer von Canada Goose. Arbeiter trieben völlig verängstigte Gänse zusammen, die daraufhin übereinander kletterten, da sie verzweifelt zu entkommen versuchten. Mindestens ein Vogel wurde allem Anschein nach erdrückt und starb. Andere bekamen kaum noch Luft. Dann griffen die Arbeiter die Vögel am Hals und steckten sie in enge Käfige. Darin mussten die Tiere die über fünf Stunden dauernde Fahrt zum Schlachthaus überstehen. Dort angekommen hängten Arbeiter die Tiere kopfüber in Fußfesseln und schnitten ihnen vor den Augen ihrer Artgenossen die Kehle durch.

Bildmaterial ist hier, hier, hier und hier verfügbar.

PETA US hat deshalb bei der US Federal Trade Commission und dem Canadian Competition Bureau Strafantrag gestellt. Denn Canada Goose selbst behauptet, seine Produkte stammten aus „[e]thischen Quellen“ und seien „human“.

„Es handelt sich hier um Werbebetrug, denn wenn Gänse erdrückt werden und nach Luft ringen, am Hals gepackt und Stunden voller Angst und Leid in winzige Käfige gepfercht werden, dann ist daran rein gar nichts ‚human‘,“ so Mimi Bekhechi, PETA Direktorin für internationale Programme. „PETA appelliert an alle Konsument/-innen, die grausam produzierten Mäntel von Canada Goose – sowie jegliche Bekleidung gefüllt mit den Daunen gequälter Vögel – im Regal liegen zu lassen.“

PETAs Motto lautet in Teilen: „Tiere sind nicht dazu da, dass wir sie anziehen.“ Die Organisation beschreibt, dass Gänse teils über Nacht ohne Nahrung oder Wasser in den Transportkäfigen bleiben mussten. Nach der langen Fahrt waren die Käfige voller Fäkalien und Federn. Die Körper vieler Vögel wiesen nach der Schlachtung sichtbare Blutergüsse und gebrochene Knochen auf. Dies war scheinbar auf die lange Zeit in den kleinen Metallkäfigen zurückzuführen.

Die Aufnahmen entstanden zum einen bei James Valley Colony Farms im kanadischen Manitoba – ein Unternehmen, das pro Jahr 130.000 Gänse züchtet. Zum anderen stammen die Bilder aus dem größten Gänseschlachthof Nordamerikas, Schiltz Foods in South Dakota, USA. Die James Valley Colony Farms sind sogar Teil eines Werbevideos von Canada Goose. Die Farm bringt die Gänse dann zu Schiltz Foods zur Schlachtung und verkauft die Daunen anschließend an den einzigen Daunenlieferanten von Canada Goose: Feather Industries aus Toronto. Dieses Unternehmen wiederum behauptet von sich, nur bei Betrieben einzukaufen, in denen Tiere „ethisch und human“ behandelt werden.

Die Mäntel von Canada Goose haben außerdem einen Pelzbesatz aus dem Fell von Kojoten, die teils tagelang in Fallen leiden, bis sie schließlich erschossen oder erschlagen werden.

Weitere Informationen finden Sie unter PETA.org.uk.

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Pour diffusion immédiate :
9 novembre 2017

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RÉVÉLATIONS : DES OIES ÉCRASÉES ET ÉTOUFFÉES CHEZ UN FOURNISSEUR DE DUVET DE CANADA GOOSE
PETA États-Unis dépose une plainte pour fraude aux consommateurs sur la base des revendications éthiques de la marque

Bern – Une nouvelle vidéo publiée par PETA dénonce les pratiques d’un fournisseur de plumes de Canada Goose, montrant des employés regrouper des oies terrorisées qui s’amassaient les unes sur les autres en essayant de fuir. On y voit une oie vraisemblablement morte d’écrasement et d’autres s’asphyxier. Les employés les ont ensuite saisies par le cou et les ont fourrées dans des cages étroites pour un trajet vers l’abattoir qui dura plus de cinq heures. Une fois sur place, les employés ont attaché les oies avec des chaînes avant de les accrocher la tête en bas et de les égorger sous le regard des autres oiseaux.

Des images sont disponibles iciiciici et ici.

PETA États-Unis a déposé une plainte auprès de la Commission fédérale américain et du Bureau de la concurrence canadien, mettant à l’épreuve les revendications de Canada Goose sur ses produits « provenant de fournisseurs éthiques » et « respectueux des animaux ».

« Il s’agit de publicité mensongère parce que l’éthique n’existe pas lorsque les oies sont piétinées et asphyxiées, saisies par le cou et fourrées dans de minuscules cages pendant des heures de terreur et de souffrance », déclare Mimi Bekhechi, directrice des programmes internationaux de PETA. « PETA appelle les consommateurs à refuser d’acheter les doudounes Canada Goose fabriquées cruellement avec de la fourrure et des plumes ou n’importe quel article garni avec le duvet d’oiseaux torturés. »

PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser comme vêtements », souligne aussi que les oies sont parfois laissées dans les cages de transport pendant toute la nuit sans eau ni nourriture et qu’après ce long trajet, les cages étaient recouvertes de fientes et de plumes. Après l’abattage, les corps des oies montraient des hématomes et des fractures aux ailes, apparemment causés par le long confinement à l’étroit dans les cages en métal.

La vidéo publiée par PETA comprend des séquences tournées chez James Valley Colony Farms dans la province canadienne de Manitoba, qui élève 130 000 oies par an, et chez Schiltz Foods dans le Dakota du Sud, qui est le plus grand abattoir d’oies en Amérique du Nord. James Valley Colony Farms, qui apparaît dans une vidéo promotionnelle de Canada Goose, envoie les oies à Schiltz pour les abattre et vendre leurs plumes au seul fournisseur de duvet de Canada Goose, Toronto’s Feather Industries, qui prétend ne s’approvisionner qu’auprès d’élevages qui ont des « pratiques éthiques et respectueuses » des animaux.

Les manteaux Canada Goose sont également garnis avec la fourrure de coyotes qui peuvent souffrir dans des pièges pendant des jours avant d’être abattus par balle ou à force de coups.

PETA demande au public d’agir en contactant la marque pour lui demander de mettre fin à son utilisation de matières animales. Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETA.org.uk.

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